Un film espagnol vraiment flippant et le rendu est vraiment realiste . deja les americains ont décide d'en faire un remake. bref pour ma part j'ai eu des periodes de peur dont un bon sursaut sur place lol j'avoue ^^ . C'est dans la meme veine que blair witch et cloverfield c'est à dire que tout le film est une k7 video provenant de la camera que tient l'un des 2 heros de l'histoire pour filmer tout ce qui se passe . Frissons garantis et surtout efficaces !
synopsis:
Angéla est journaliste pour une télévision locale. Accompagnée de son caméraman, elle relate le quotidien de ceux qui travaillent la nuit.
Ce soir, elle est dans une caserne de pompiers. La nuit est calme, aucune urgence. Jusqu'au coup de fil d'une vieille dame qui réclame du secours. Le tandem suit les pompiers et découvre en arrivant sur place des voisins très inquiets. D'horribles cris ont été entendus dans l'appartement de la vieille dame. Angéla perçoit la tension des habitants, son reportage devrait enfin sortir de la routine... Elle n'imagine pas à quel point !Un cauchemar en direct !
Avec [Rec], les réalisateurs Jaume Balaguero et Paco Plaza expliquent avoir voulu "construire le cauchemar le plus crédible possible, une expérience terrifiante qui pourrait garder le public le plus captif possible. On a donc décidé de raconter cette histoire comme un reportage télévisé en direct, de tourner en "live" avec l'horreur qui survient en temps réel, sans possibilité de stopper le récit. L'idée était de laisser l'action se développer devant les yeux du spectateur. Comme si tout ce qui se passait à l'image était VRAIMENT EN TRAIN de se dérouler, avec le minimum d'élipses temporelles."
Que le spectateur ait la frousse !
Jaume Balaguero explique avoir réalisé [Rec] avec l'idée de proposer au public une expérience jamais vécue auparavant. "On se demandait quel pourrait être le concept idéal de manière à impliquer le spectateur au maximum dans l'histoire et lui flanquer une frousse qu'il n'avait jamais encore jamais vécue au cinéma", explique-t-il. "On voulait faire un film qui ne suivrait pas les livres d'école de cinéma à la lettre, qui ne se limiterait pas aux codes habituels du genre."La télé-réalité comme modèle
Jaume Balaguero explique s'être inspiré de l'univers de la télé-réalité pour [Rec]. "Nous avons pensé que la clef résidait peut-être dans la manière dont sont construits certains programmes destinés au petit écran", explique le cinéaste. "Il fallait que notre film soit le plus réaliste possible, que l'histoire paraisse se dérouler en direct, un peu à l'image d'une émission de télé-réalité." Paco Plaza, le co-réalisateur de [Rec], poursuit dans ce sens : "Nous étions convaincus qu'en nous inspirant des artifices propres à la télévision, nous serions en mesure de créer un film d'horreur différent, et bien plus effrayant, de ceux qu'on a l'habitude de voir."
Un tournage inhabituel
La structure de [Rec], qui sort de l'ordinaire, a constitué un véritable défi pour les deux cinéastes. Jaume Balaguero explique : "Ecrire et réaliser un tel film était une expérience totalement nouvelle pour nous, pratiquement à l'opposé de nos précédents films bien plus classiques, tant dans la forme que dans le fond. Avec un film comme [Rec], on ne peut pas utiliser le même langage cinématographique pour construire la tension et le suspense. (...) Tous ces artifices qui nous permettent habituellement de tricher quelque peu, de préserver le sens de la narration, le rythme, la dynamique des situations ou encore le suspense, sont donc proscrits." Et son confrère Paco Plaza d'ajouter : "Il était pratiquement impossible de respecter le scénario à la lettre. Nous nous sommes rapidement rendu compte qu'il fallait laisser une énorme place à l'improvisation pour obtenir l'effet recherché."
Une bande-annonce vécue de l'intérieur
La première bande-annonce de [Rec], particulièrement originale, a grandement participé au buzz entourant le long métrage. Elle ne dévoilait aucune image mais filmait les réactions des spectateurs durant les avant-premières du film à l'aide de caméras infrarouge. Un choix étonnant et efficace qui s'avère particulièrement attractif pour ceux qui aiment avoir peur au cinéma : s'y succèdent en effet des plans de spectateurs sursautant, se cachant les yeux et hurlant à tout-va.
L'influence des jeux vidéos
Pour faire de [Rec] une expérience immersive unique, Jaume Balaguero et Paco Plaza se sont inspirés des jeux vidéo. Le premier nommé explique ainsi : "Nous avons tout mis en oeuvre pour que le film soit quasiment interactif, en prenant modèle sur les jeux vidéo. Je suis personnellement fasciné par les jeux Resident Evil et Silent Hill, par la manière dont ils impliquent le spectateur dans l'histoire. Et c'est précisément parce qu'on est concerné et captivé par ce qui se passe à l'écran, sans jamais décrocher, qu'on est d'autant plus effrayé quand l'horreur survient. On a essayé de reproduire ce sentiment."
Deux réalisateurs horrifiés !
Jaume Balaguero et Paco Plaza, les réalisateurs de [Rec], sont spécialisés dans le genre horrifique. Le premier est déjà considéré comme l'un des chefs de file de la nouvelle vague fantastique espagnole, avec des films comme La Secte sans nom, Darkness et Fragile. Le second, moins connu, s'est notamment illustré en signant Les Enfants d'Abraham (Méliès d'Argent au Festival de Sitges 2002) et L'Enfer des loups.
Balaguero/Plaza : deuxième collaboration
[Rec] marque la deuxième collaboration entre les réalisateurs Jaume Balaguero et Paco Plaza. Ces derniers avaient auparavant co-signé OT : The Movie, un documentaire de la collection Operacion Triunfo autour de la version espagnole de Star Academy. Ce n'est d'ailleurs sans doute pas un hasard si [Rec] a comme modèle la télé-réalité.
[Rec] fait flipper les festivals
[Rec] a été présenté à la 64e Mostra de Venise. Le film d'horreur a par ailleurs été triplement récompensé au Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2008 en recevant le Prix du Jury, le Prix du Public et le Prix du Jury Jeunes. Il a enfin reçu quatre distinctions au Festival International de Sitges 2007 : Prix du Public, Prix de la Critique, Prix des Meilleurs réalisateurs pour Jaume Balaguero et Paco Plaza et Prix de la Meilleure actrice pour Manuela Velasco.---------------------------------------------------------------------
Les critiques Presse:
Le Parisien
- Charlotte Moreau
Quatre-vingt minutes de pure trouille, dont on ressort à la fois perturbé et euphorique. Heureux d'avoir assisté à un spectacle intelligent, qui ne prend pas le spectateur pour un sadique.
aVoir-aLire.com
- Frédéric Mignard
Une pure bombe de terreur parmi les plus remarquables de la décennie !
MCinéma.com
- Hugo de Saint Phalle
Proche dans la forme de Blair Witch Project, REC s'avère mille fois plus limpide, effrayant et réussi. Voilà longtemps que l'on avait pas eu aussi peur dans une salle de cinéma.
Mad Movies
- Damien Granger
Une véritable petite bombe qui vous procurera 80 minutes de stress (...) l'adaptation la plus respectueuse, même si officieuse, de "Resident Evil".
Chronic'art.com
- Vincent Malausa
En faisant ainsi joliment vaciller la frontière qui sépare la chair et le digital, en masquant avec malice les limites de leur petit objet sans idées, Balaguero et Plaza réactualisent à leurs dépens cette vérité si souvent masquée par la guerre des matières et des technologies dans laquelle s'est engagé le cinéma : celle du talent.
Le Nouvel Observateur
- Fabrice Pliskin
Les dix dernières minutes plongent dans l'effroi jusqu'aux âmes les mieux blindées...
Libération
- Bruno Icher
(...) non seulement le film fout une trouille de tous les diables, mais il semble renouveler le genre horrifique dans une de ses résurrections aussi violemment éruptives qu'éphémères.
Le Monde
- Jean-François Rauger
Le parti pris "moderne" (...) permet d'intensifier la peur du spectateur. L'autre intérêt du film (...) est sa vision de la société (...). [C'est un] constat pessimiste qui ressort de la description de ce petit monde maltraité par une épouvante de cinéma.
20 Minutes
- La rédaction
Ce délire horrifique a été primé à Gérardmer. Normal : ça fait vraiment peur !
Charlie Hebdo
- Jean-Baptiste Thoret
(...) Un savoir-faire en matière de peur et une ambition strictement limitée à une série B qu'il s'agit de faire (plutôt bien) fonctionner.
Elle
- Philippe Trétiack
Ce film d'horreur-là est vraiment... horrible. Au bout d'une heure vingt d'une mayonnaise d'effroi et de cauchemar, on est rincé, scotché par ce joyau d'hyperréalisme gore.
Le Journal du Dimanche
- Stéphanie Belpêche
La peur n'a pas été aussi bonne depuis longtemps : positive et totalement jouissive, dépourvue d'arrière-pensée et d'hémoglobine (...) Durant 1h20, la tension ne faiblit jamais.
Télé 7 Jours
- Philippe Ross
Sans temps mort, tranchant comme un rasoir, "Rec" vous prend aux tripes, au propre comme au figuré. Frousse carabinée en vue !
L'Ecran Fantastique
- Yann Lebecque
Rarement on aura été aussi stressé dans une salle obscure. Balaguero et Plaza [reprennent] les meilleures recettes du genre (...), n'inventant réellement rien mais réinvantant tout, pour obtenir (...) un vrai moment de cinéma.
source : allocine
Bande Annonce :
https://www.dailymotion.com/hakim93200/rec/video/x52mp9_rec-trailer_shortfilms