Alors voila un film qui coupe le souffle tellement la pression est la ! la peur le sang , la monstruosite des actes ! Dans le genre de massacre a la tronconneuse , il fait rappeler le film open water dans le sens de la narration de l histoire ici on s en fout des intrigues de gauches ou a droite : c'est trop realiste en fait car c'est en + inspiré de faits reels et c'est la que c'est encore + horrifiant ! . On rentre d emblee dans l histoire sans presenter les personnages c'est comme si la camera arrivait dans le film a un instant T : au debut de ce voyage qui va mener les 3 jeunes à l'horreur . Et c'est tellement realiste que il faut que vous oubliez les fins classques hollywoodiennes ! Retenez bien ya 2 femmes et un homme qui subissent la terreur donné par un homme au rire cynique ! j ai dis 2 femmes et un homme ok ? quandvous aurez vu la fin vous m'en direz des nouvelles
bref et dire que c'est arrrivé . j y pense encore a ce film tellement il ma glacé !
Voici le resumé :
Trois jeunes randonneurs partent pour trois semaines de trekking dans le désert australien. Ils en profitent pour aller admirer Wolf Creek, un cratère causé par un météorite vieux de plusieurs milliers d'années. Cette nuit-là, ils retrouvent leur voiture en panne. Lorsque un autochtone leur propose de l'aide, ils se croient sauvés. Pourtant, le vrai cauchemar commence...Cote casting nous avons des visages pas tres familiers :
John Jarratt (Summer City)
Nathan Phillips (Des serpents dans l'avion)
Cassandra Magrath
Kestie Morassi
Un "boogieman" australien !
Greg McLean, le réalisateur, scénariste et producteur de Wolf creek, explique ce qu'il a voulu créer avec le long-métrage : "L'idée qui préside à Wolf creek est dans ma tête depuis environ six ans lorsque j'ai écrit la première version du film. Il y avait au départ la notion d'un personnage terrifiant, solitaire, vivant dans le désert australien. Un personnage qui est tout le contraire des clichés du bushman australien classique, véhiculé par des films comme Crocodile Dundee ou par des types comme Steve Irwin. A savoir sain, débrouillard, éternellement content, avec un charme naïf et une vision enfantine du monde. Ce sont deux de nos plus populaires exportations culturelles, mais qu'adviendrait-il si nous imaginions un personnage illustrant les aspects les plus sombres, les plus sinistres et les plus monstrueux de cet archétype australien ? Si nous imaginions un "Boogieman" (un père fouettard) typiquement australien ?"
Un tueur en série qui en rappelle d'autres...
Le tueur en série du film a été inspiré de certains des criminels australiens les plus célèbres, comme Ivan Milat, Bradley Murdoch et les tueurs en série de Snowtown. Le réalisateur Greg McLean explique qu'"au fur et à mesure que le scénario se construisait, plusieurs vrais Boogiemen australiens sont réapparus. Des personnages si horribles que c'est comme si eux et leurs crimes jaillissaient directement de l'imagination d'un écrivain dont le but serait de nous épouvanter, et de faire cesser à coup sûr les virées du dimanche après-midi dans la campagne australienne."
Un film d'horreur... selon le Dogme !
Greg McLean explique qu'il a voulu réaliser un film effrayant unique en son genre avec Wolf Creek, et qu'il s'est inspiré du Dogme : C'était mon intention de faire de Wolf Creek un film inoubliable, choquant et vraiment effrayant. Et qui soit aussi nettement australien. Le style général du film m'a été fortement inspiré par l'intrusion du Dogme dans le cinéma européen. Par l'arrivée des cinéastes danois menés par Lars von Trier, à l'origine d'une révolution numérique. Ces metteurs en scène se libéraient du fardeau des films à gros budget : décors naturels, éclairage et bruitage sonore réduits, tournage en vidéo numérique, et concentration de toute leur énergie sur des récits novateurs et le jeu des acteurs."
La violence de "Wolf Creek"
Greg McLean s'exprime sur la violence de son long-métrage : "Wolf Creek contient des scènes explicites et denses, des scènes dérangeantes. Cela dit, mon film explore le côté sans éclat et banal de la violence puisqu'il est par certains côtés la plongée d'un voyeur dans le monde du mal à l'état pur. Je crois que c'est le travail d'un artiste de "ne pas détourner les yeux" de notre monde et de l'expérience humaine : à la fois dans les pires moments de souffrance et les plus beaux instants de joie."
LA formule horrifique magique
Pour le réalisateur Greg McLean, la formule magique pour aboutir à un film d'horreur classique efficace est la suivante : "Un récit à l'épine dorsale solide, peu de personnages, un lieu isolé et un monstre unique et inoubliable."Des Beaux-Arts au boogieman !
Greg McLean, le réalisateur de Wolf Creek, a un parcours plutôt atypique. Formé aux Beaux-Arts, il obtient un diplôme de mise en scène au National Institut of Dramatic Art de Sydney. Se spécialisiant dans le domaine théâtral, il est notamment metteur en scène de pièces du répertoire classique shakespearien puis devient directeur de l'OzOpera, branche itinérante de l'opéra australien. C'est en intégrant l'équipe de Baz Luhrmann pour Moulin Rouge, en tant que scénariste, qu'il met un pied dans le monde du septième art. Il se spécialise alors dans la réalisation de courts métrages, remportant de nombreux prix internationaux. Sous la bannière de sa société de production GMF, il produit des dizaines de publicités, films institutionnels et clips. De plus en plus, il s'essaie à l'écriture de scénarios, abordant différents genres, du thriller au drame, en passant par la comédie romantique ou le... film d'horreur. C'est ainsi que, d'après un script horrifique, il tire Wolf Creek, son premier long-métrage.
Présenté à Cannes et Sundance
En 2005, Wolf creek faisait partie de la sélection de la Quinzaine des réalisateurs, section parallèle du Festival de Cannes. Le long-métrage concourait également, en tant que premier film, à la Caméra d'or. Il a enfin été présenté lors du Festival de Sundance 2005.Quelques critiques presse :
Mad Movies
- Julien Sévéon
"Wolf Creek" est un film que l'on visionne avec ses tripes, une oeuvre que l'on vit totalement. (...) Et si "Wolf Creek", comme ses grands frères des 70's, illustre notre monde actuel, tout ce que l'on peut dire, c'est que nous vivons vraiment une époque de merde...
aVoir-aLire.com
- Frédérick Mignard
Wolf creek est donc un formidable jeu de massacre, éprouvant jusqu'à la dernière minute, dont la sortie tardive (...) représente de toute évidence l'une des très bonnes surprises horrifiques de cet été pourtant riche en frissons.
Le Monde
- Jean-François Rauger
(...) Greg McLean a suffisamment compris les enjeux du film de terreur pour pouvoir faire mine de s'en détacher et les servir avec davantages d'efficacité encore.
Télé 7 Jours
- Philippe Ross
Superbement photographié et interprété (...) "Wolf Creek" distille un parfum de terreur et de malaise qui pourrait bien en faire le "Délivrance" des années 2000.
Le Journal du Dimanche
- Stéphanie Belpêche
La tension est palpable, l'identification totale. Pendant une heure, [Greg McLean] s'ingénie à donner de l'épaisseur à ses héros, ce qui est rare dans ce genre de cinéma. La qualité de la DV impressionne, malgré un budget modeste.
Première
- Gérard Delorme
(...) "Wolf Creek" essaie courageusement d'imposer sa propre voix, empruntant à quelques faits divers australiens sa principale substance : deux ou trois atrocités bien senties mais à peine montrées.
L'Ecran Fantastique
- Gilles Penso
(...) ce petit joyau évitant soigneusement les sentiers battus nous rappelle les grandes heures du cinéma de genre australien (...)
je l'ai meme prefere à la colline a des yeux que j avais pourtant bien kiffer : en fait la colline a des yeux garde une fin positive car les 2 gosses sont en vie (la blonde et son frere) mais pas de ca dans wolf creek
et puis dans wolf creek pas de monstre ou de personne deformee ou mutante : la terreur est bien humaine ...