Les moments forts de vos héros

Que l'on soit fan de X-men, Daredevil, Spiderman ou tout autre héros Marvel, on a chacun eu un moment fort, un épisode qui nous a marqué plus qu'un autre...Il se peut parfois que ce qui nous a marqué soit anodin par rapport la trame de l'histoire.

L'un de mes premiers grands moments date de l'été 1978 et du numéro 104 de Strange...Le drame c'est joué dans Spiderman.

daredevil. le moment fort, pour moi, c'est durant l'album "renaissance," quand matt murdock voit son immeuble. on peut voir le refletde l'explosion dans ses lunettes. mais je peux aussi rajouter celui où il devient le caïd durant l'album "le roi de hells kitchen"

la mort de colossus m'a aussi beaucoup ému. c'était un sacrifice digne de lui, une belle fin ( qui aurait dû le rester) ( xmen 61 en vf)

captain marvel premier du nom acquiert la conscience cosmique et le guerrier se change en protecteur grâce à éon ( tpb la vie de captain marvel)

le retour d'adam warlock dans infinity gauntlet.

mon moment le plus fort, c'est la deuxieme partie de la mini serie Xmen/Alpha Fligt paru dans Strange 202 il me semble
c'est un de mes premiers comics et je lui accorde toujours une attention privilegié quand je les relis

C'est dur à dire. Je posterais sûrement d'autres moments forts quand ils me reviendront en tête ou bien quand je serais inspiré par vos posts. Ah, et je mets aussi ceux des persos des autres compagnies, parce que ça risque d'être chiant de tout différencier. Pour le moment, y a :
- Cap contre Thanos dans le Défi de Thanos. Cap, seul, avec tous ses potes vaincus à ses pieds et qui représente le seul salut de l'univers, qui est devant Dieu quoi, et lui dit "je vais pas te laisser faire" alors qu'il a aucun pouvoir...la classe.
- Batman dans Dark Knight Returns quand il reprend son costume (aaaah, les pages avec les flash d'infos...) et quand il combat Superman à la fin avec le "C'est ça être un homme, Clark !".
- Superman Earth II dans Crisis On Infinite Earth quand il combat l'Anti Monitor à la fin.
- Rorschach à la fin de Watchmen quand il reste fidèle à ses idéaux malgré tout.

C'est vrai que le bref face à face Thanos-Captain America résume la vie de notre héros

Les deux qui me viennent tout de suite en tête :

* La mort de Colossus, sans aucun problème. Un putain de sacrifice, réfléchi et avec de la compassion. J'ai adoré le flashback où il se revoit discuter avec son père, un paysan russe (on peut pas faire plus austère et simple), qui lui dit de faire ce qu'il a à faire.
Ca révèle toute la grandeur du personnage, qui, après un moment d'égarement (quand il rejoint Magnéto, fatigué par la voie des X-Men), retrouve le rêve de Xavier et choisit de donner sa vie en toute humilité.

Je le dis et le redis, COlossus n'aurait jamait dû revenir... Son retour (incompréhensible pour le moment) a tout gâché...

* La mort de Thor. Ce comics est une pure merveille.
Bon, là je sais qu'il va revenir... Marvel peut pas se permettre de tuer la poule aux oeufs d'or non plus...


Y'a aussi le crossover du Chant du Bourreau qu'était assez terrible, je trouve. De même que le Défi de Thanos, où ce qui reste des super-héros de la Terre se faire décimer les uns après les autres (la Cape qui explose, whaouuuuuuuu)... Je crois que c'était la première fois qu'on voyait ces super-héros mourir, et je ne parle pas des What If...
Bon, maintenant avec les Exilés, c'est devenue chose courante...

Pour la mort de Thor, je plussois avec toi X-Man TOOTH, j'ai adoré !!! Et récemment j'ai adoré Thor Blood Oath, même dessiné par Kollins qu'ordinairement je n'aime pas, j'ai trouvé que là dessus ses dessins passaient.

xmaxx TOOTH a écrit:

Les deux qui me viennent tout de suite en tête :

* La mort de Colossus, sans aucun problème.

Je le dis et le redis, COlossus n'aurait jamait dû revenir... Son retour (incompréhensible pour le moment) a tout gâché...

* La mort de Thor. Ce comics est une pure merveille.
Bon, là je sais qu'il va revenir... Marvel peut pas se permettre de tuer la poule aux oeufs d'or non plus...

Idem la mort de Jean Grey (la 1ère) suivit d'une ressurection purement commerciale...

Pour ce qui est de Thor, c'était du grand art...Dans l'esprit de la mort de Captain Marvel (le 1er)

Cette cover, reprise sur un numéro de Marvel Icons, résume à elle seule la fin d'une époque



Sur un certain plan, elle me fait penser à Avengers #4, marqué par le retour de Captain America...ce numéro faisait ainsi la transition avec la période Timely (future Marvel) et des héros de la WWII et l'époque moderne...Cette cover de Avengers Dissassembled marque pour moi la fin définitive de l'ère Stan Lee, Kirby, Romita et les autres et nous fait rentrer de plein pied dans une nouvelle époque...Captain America reste le trait d'union avec l'ancien et le nouveau monde Marvel

Cap pour moi c plus dans renaissance "une voix qui pourrait commander au diex et le fait..." et sa facon de prendre les drapeau en disant "je ne suis fidele qu au reve" ou quand il regarde le visage de Nuke en baissant les yeux...
sinon la scene cap/rick vs Hydra par steranko ou son poing rageur contre le cap des 50's couplé a sa facon de partir dépité ... par englehart et buscema

Les morts de Gwen Stacy, de Captain Marvel, de Colossus, de Illyana qui m'a énormément touché, la pseudo-mort de Tante May dans la Saga du Clône était super touchante aussi avec le clône qui est dehors et qui chiale en voyant May mourir par la fenêtre...
Celle de Psylocke m'a laissé indifférent, elle n'était pas crédible.
Sinon l'affrontement entre Daredevil et Hulk par Miller était somptueux, la descente aux enfers de DD par Miller et Mazzuchielli était superbe.
Y'en a sûrement d'autres, il faudra qu'ils me reviennent.

Oups ben Geyser, moi tu me l'as rappelé comme moment fort.
J'en ai deux gros
- La mort de Psylocke. Euh si moi ça m'a ENORMEMENT touché. C'était il y a maintenant près de 5 ans et je m'en souviens très bien, lol. A l'époque Psylocke était mon perso number ONE et j'étais deg, de chez deg, je me demandais même si j'allais continuer les X-Treme X-Men et tout le toutim, parce que mon perso n'apparaissant plus, ça me disait plus rien. J'ai continué par habitude et à l'époque Sage (qui faisait tout de même office de remplaçante et doublon avec Betsy) m'intriguait, donc j'ai poursuivi.
- Le mariage raté de Polaris et Havok. Perso number TWO, et the Winner actuellement, lol. Ben pareil, ça a beau être du Austen et tout et tout, pour moi c'était la consécration de mon couple fêtiche. Et si j'étais un peu deg de voir le truc échouer, j'ai adoré la colére de Polaris qui se retourne contre tous les invités et dont la puissance rayonne... Mon épisode préféré de la période Austen (si si) assurément.

C'était deux beaux épisodes de Austen par Tan, c'était pas trop mal, ce qui était touchant dans cette histoire c'est de voir le pauvre Bobby dire qu'il est toujours amoureux de Lorna.

Lol c'est marrant de voir un même épisode à travers les yeux de fans de différents persos. Moi j'étais à fond avec Lorna, qui après moultes possessions, etc, (elle avait déjà pîqué une crise lors d'un combat avec Random dans X-Factor 2, où elle avait fait le bilan de tous ceux qui ont abusés d'elle), elle se retrouve trahi par le mec qu'elle aime et ça devant tous les gens de sa famille et amis le jour de son mariage. Humiliation suprême. J'adore Havok mais pour un coup pareil, elle aurait dû faire sortir tout le fer de son corps par le nez !!!
La morale de l'histoire c'est qu'Annie Ghazikhanian a totalement disparue aujourd'hui et que Polaris, elle, est toujours là.

J'ai également souvenir d'un très bon épisode de Daredevil...un petit garçon aveugle perd son chien, Daredevil se propose de le retrouver...malheureusement plusieurs incidents vont émailler la route de DD, il finira par retrouver le chien...Celui-ci entre temps a été capturé par la fourrière et euthanasié. Episode triste et intense à la fois.

àoui je l'ai lu récemment aussi laurent. très bel épisode.

Hyperion a écrit:

Lol c'est marrant de voir un même épisode à travers les yeux de fans de différents persos. Moi j'étais à fond avec Lorna, qui après moultes possessions, etc, (elle avait déjà pîqué une crise lors d'un combat avec Random dans X-Factor 2, où elle avait fait le bilan de tous ceux qui ont abusés d'elle), elle se retrouve trahi par le mec qu'elle aime et ça devant tous les gens de sa famille et amis le jour de son mariage. Humiliation suprême. J'adore Havok mais pour un coup pareil, elle aurait dû faire sortir tout le fer de son corps par le nez !!!
La morale de l'histoire c'est qu'Annie Ghazikhanian a totalement disparue aujourd'hui et que Polaris, elle, est toujours là.

Il est clair qu'on a tous une vision différente...Même sur un seul épisode

La mort d'Illyana... de Colossus... et de Cypher.

Dans le même style d'histoire tu as Spiderman qui rend visite dans une chambre à un un enfant qui est fan de lui et qui lui dévoile son identité, son visage en tous les cas, le gosse est fou de joie, à la fin de l'histoire tu vois Spiderman quitter un Centre d'enfants Cancéreux...

Peter Parker ou le super-héros dans toute sa splendeur...

xmaxx TOOTH a écrit:

Peter Parker ou le super-héros dans toute sa splendeur...

Dans les années 70, j'ai eu mon ras-le-bol de Spiderman...Il était présent dans toutes les revues LUG de l'époque...Maintenant quand je regarde en arrière je trouve que c'est le personnage Marvel qui a le mieux évolué...Malgré des scénaristes et dessinateurs différents.

Avec les histoires d'enfants tu arrives toujours à émouvoir, tu avais aussi ce petit garçon qui était fan de la Torche Humaine et qui a été hospitalisé aux Grands Brûlés, c'était une histoire de Byrne, d'ailleurs je crois même que l'enfant ne s'en sort pas.

Y en a un sur Night Trasher/Fighter qui m'avait beaucoup plu aussi, dans ce genre. C'était l'histoire d'un gamin fan de ce perso' qui était mortellement blessé : sa famille avait été attaquée par des criminels et ils étaient morts (Batman ?!), et lui allait bientôt y passer aussi. Il voulait juste voir son héros avant de mourir, et Night Trasher/Fighter était venu. Il lui avait montré son visage, lui avait expliqué sa vie et tout, et le gosse lui avait demandé à la fin, en sachant pour ses parents, à son héros de...tuer ceux qui l'avaient butés !
Night avait refusé mais le gamin mourrait dans ses bras, et on voyait à la fin Night remettre son casque en pleurant, se disant que tuer ces types étaient qu'une goutte dans l'océan, et que c'était pas si grave...

J'ai trouvé ça très dur, mais très fort aussi. Très touchant.

Je dirais la mort de Gwen Stacy, bien que ce soit un truc fort connu. Surtout, avec le temps, j'en suis venu à reconsidérer ce que je pensais de cet épisode.

Hum, allez, je vous refourgue ma tartine préférée sur le sujet, lol. (à ce moment, je parle de "Bleu" en 100%)



J’aime le Tisseur. Un peu moins Parker, que j’appelle volontiers et ironiquement le « bon samaritain » tellement il se comporte parfois comme un infect et sirupeux abruti. Il arrive parfois, pourtant, que les deux réussissent encore à m’émouvoir, malmenés qu’ils sont par de talentueux scénaristes (et tout autant magnifiés qu’ils sont par de non moins talentueux dessinateurs).

Le dernier épisode de Spectacular m’avait laissé un arrière goût doux-amer agréable, une sorte de belle tristesse, un truc peu avouable au final. Car, finalement, est-on censé s’émouvoir d’un comic ? Est-on même simplement censé avouer nos émotions ?
Si je vous parle du Monte-en-l’air, c’est pour deux raisons. Tout d’abord, le reprint de « Bleu » (le n°4 des 100% Marvel consacrés à Spider-Man) et ensuite…cette pauvre Gwen Stacy et ce qu’elle symbolise, pour lui, pour nous tous presque.

Ami lecteur, je vais la faire longue. Pas pour t'expliquer quelque subtile variation que tu n’aurais pas pigée, non, juste parce que, parfois, certaines personnes, même fictives, méritent que l’on parle d’elles en prenant un peu de temps. Gwen est de celles-ci.
Je l’ai peu connue. Mais nous l’avons tous connue au moins un peu.
Il m’arrive parfois de la regretter, même si des Mary Jane l’ont remplacée.
Spidey, lui, s’arrange pour lui rendre hommage chaque année, à sa façon. Le jour de la Saint Valentin. Il…se débrouille pour jeter une rose du haut d’un pont… « du » pont. Pfff, pathétique ! Et totalement et effroyablement émouvant. Les titres de cette mini-série sont éloquents : « My funny Valentine », « Let’s fall in love », « Anything goes », « Autumn in New-York », « If i had you » et « All of me » !! Sortez vos mouchoirs et allez me chercher Julia Roberts ou une pintade équivalente, pouah !!
Mais finalement, bah, Jeph Loeb et Tim Sale parviennent quand même à rendre ce retour en arrière plus agréablement nostalgique que stupidement pleurnichard. Les covers déjà, magnifiques (bizarrement, c’est la moins jolie qui est en couverture du reprint VF, mmm, question de goût sans doute), le dessin, rétro, l’histoire enfin, utilisant habilement des moyens originaux mettant le lecteur au centre des souvenirs d’un Parker désabusé et profondément sincère. Le bleu enfin, présent comme un spleen nécessaire et colorant les faits d’une teinte nouvelle.
Le style graphique de Sale est simple mais surtout pas simpliste. De par son économie de détail, il parvient souvent à donner la liberté à tous les lecteurs de se retrouver dans ses traits tout en réussissant l’exploit de ne pas donner dans le « minimum syndical ». Un tour de force !
Loeb n’est pas en reste (rien à voir avec Caroline hein, comprenne qui pourra…). Parker a tellement l’habitude de pleurnicher et de jouer au poissard de service qu’il faut être particulièrement inventif pour nous faire, encore, nous apitoyer sur son sort de super-héros malchanceux.
Ces deux salopards y parviennent.
Non pas en nous ressassant un Parker enivré de doutes et de misères passées, mais en nous montrant le regard, adulte et dur, d’un homme qui se retourne sur sa jeunesse et apprend à accepter ce qui a changé et ne reviendra plus. Ce ne sont plus des jérémiades mais bien des mots, comme des baumes sur des maux qui devaient, enfin, en finir de saigner et devenir de belles et fines cicatrices.
Si Marvel a réussi une chose en plusieurs décennies d’histoires, c’est bien celle-là : ne jamais ressusciter Gwen (même s'il y a eu le clone de Gwen, les enfants de Gwen, le dentifrice à la Gwen...). Car, au final, et malgré la colère des fans, la mort de Gwen a fait plus pour l’identification et la fidélisation au héros que n’importe quel combat. Spider-Man, le vrai, celui des comics, nous ressemble car, quoi qu’il arrive, il a perdu Gwen comme nous avons nous-mêmes perdu notre innocence ou d’autres choses. Il est certes dangereux de jouer avec ce côté humain des Heroes, mais il serait suicidaire de ne point le faire. Marvel réussit parfois cet exploit d’allier pouvoirs et fragilité, costumes ridicules et émotions bien réelles, irréalité des combats et sincérités des sentiments.

On a en vu tellement…des centaines de scénaristes et dessinateurs ou coloristes, des milliers (oui, milliers) de personnages, des décennies d’évolution, d’aventures, de méprises, d’attentes, de joie et de fureur. Et parfois, la lassitude. Et puis, il suffit d’une phrase, d’une case, d’un trait plus sombre ou d’une tirade illuminée, et c’est reparti. Blue aurait pu être la mini-série de trop dans le genre « Spidey déprime », « Spidey va chez son psy », « Spidey pense au suicide », « Spidey est triste en pensant à sa vieille tante à l’article de la mort », « Spidey, blabla, aaaaah !!! » Stop !! (…in the naaame of love !! Before you break my heaaart…heu, non pardon, je m’égare ! Diana, sors de mon corps !!)
Oups, voilà, ça va mieux. (les Supremes, sortez aussi ! Sisi ! Allez ! Bon, ok, merci…)
Donc, oui, ça aurait pu être tout pourri (c’est ce que je disais en gros) mais, ben, non !
C’est tout bien.
Cela me fait penser à cette histoire de Daredevil (dont la fin est également en reprint) où Karen Page meurt et où le démon sans peur en vient à se demander si tout cela vaut la peine…le type qui lui remontra le moral, en lui rappelant qu’il a sauvé un bébé, malgré tous les carnages, sera un certain…Monte-en-l’air. Là, nous avons droit à du Kevin Smith (le réal qui a fait Clerks, Dogma, Chasing Amy…) et à du Joe Quesada himself. C’est triste, même Mysterio parvient, au final, à paraître plus pathétique que ridicule. Le fameux « homme sans peur » n’est pas sans souffrance. Il rejoint, dans cette histoire, parfaitement le Spidey de « Blue ». Un Spidey si perdu qu’il en vient à confier son histoire à un simple dictaphone. Juste pour qu’une trace persiste. Une trace de l’indicible. Une trace de ce qu’il ne peut confier à personne, et surtout pas à ceux qu’il aime. Une trace de ce qui n’est plus et que jamais, personne, ne pourra remplacer. Ce n’est plus une question d’amour, de compréhension, c’est au-delà de tout.

Nous avons tous perdu une Gwen (ou un John, ou un pays, ou des illusions, ou je ne sais quoi)…mais rares sont ceux qui ont pu magnifier cette perte autant que certains artistes Marvel l’ont fait.
On sait tous comment ça va se terminer, mais on y croit quand même. Pour nous, ça s’appelle la vie. Dans les comics, ça s’appelle le talent. Et entre les deux, il y a du beau. Un endroit où les larmes ruissellent sans irriter la peau. Où la lumière coule sans éblouir. Où la mort de Gwen a un sens. Où une MJ nous consolera. Où nous pourrons tout accepter.
Pendant longtemps, j’ai cru que Gwen Stacy était un faire-valoir, un pâle souvenir, un poids mort. C’est tout le contraire. Elle est de ces pertes qui nous font avancer, nous qui restons, ici, sans elle. Elle est de ces faiblesses qui se transforment un jour en force, lorsqu’on les regarde vraiment. Elle est de ces choses qui, plus que jalonner un chemin, le façonnent.

« Chaque année, le jour de le Saint Valentin, je viens à cet endroit. Discrètement. Personne n’est au courant. C’est pour me souvenir d’une femme qui comptait tellement pour moi que je voulais passer ma vie avec elle. J’ignorais qu’en fait, c’était elle qui allait toujours rester à mes côtés. »
Spider-Man (sous la plume de Jeph Loeb)

« Les gens restent tant que vous vous souvenez d’eux. »
Spider-Man (sous la plume de Jeph Loeb)

« Toute la nuit j’ai préparé un éloge. Mais comment rendre hommage à Karen à travers ces gribouillis mouillés de larmes ? Comment puis-je dire à ces gens tout ce qu’était Karen et ce qu’elle représentait pour moi ? Non. Il n’y a pas de mots. »
Daredevil (sous la plume de Kevin Smith)

Superbe critique, bravo.
Ca me donne envie de lire.

Et sinon, t'avais pensé quoi de l'idée de Straczynski sur les jumeaux de Gwen ? Vu que tu sembles être un grand fan du perso', j'aimerais bien connaître ton avis...

Ben Wawe a écrit:

Et sinon, t'avais pensé quoi de l'idée de Straczynski sur les jumeaux de Gwen ? Vu que tu sembles être un grand fan du perso', j'aimerais bien connaître ton avis...

Pour être franc, autant j'avais aimé certaines idées de Straczynski, notamment sur Ezekiel et la société de l'Araignée, l'aspect métaphysique des pouvoirs, etc., autant, je n'ai pas accroché du tout justement à cette idée de jumeaux. Mais bon...question de goût, je pense que Gwen prend toute sa force en tant que perso lorsqu'elle meurt et que la ramener par clone/enfants/ou je-ne-sais-quoi interposés diminue l'impact qu'elle peut avoir au final sur Parker.
En plus, bon, comme par hasard, les enfants sont des Bouffons, alors qu'elle a été tuée par le Bouffon Vert original...bon. Difficile à digérer, même vendu en "happy meal" ("joyeux repas" en VF lol).
Par contre, je suis un inconditionnel de Supreme Power du même auteur. (mais bon, j'admets que c'est plus facile quand il n'y a pas de continuité à assumer)