Voila un film qui laisse une atmosphere terrifiante digne d un massacre a la tronconneuse
le sadisme ici est sans pitié ! Je trainerai jamais seul au musee grevin lol.
Mais en tout cas un tres tres bon film d'horreur qui met la pression
voila le resumé
Un groupe d'amis se rendant au match de football de l'école devient la cible de deux assassins dans une ville abandonnée. Ils découvrent que ces hommes ont développé la plus grosse attraction du coin - la Maison de cire - en créant une bourgade peuplée de personnages de cire, confectionnés à l'aide des corps de visiteurs malchanceux. Les jeunes gens doivent maintenant trouver un moyen de s'enfuir avant de devenir eux-mêmes les acteurs de ce funeste théâtre..Coté casting seuls 2 visages familiers :
Paris Hilton (qui ne la connait pas lol) et l'exquise
Elisha Cuthbert (24 heures , Girl Next door) qui est en fait l'heroïne du film . A noter la performance de
Chad Michael Murray qui joue le jumeau de l'heroine et qui est le sosie de Justint Timberlake .
Paris Hilton fait son cinéma !
La Maison de cire marque les véritables débuts de Paris Hilton au cinéma. Après une poignée d'apparitions anecdotiques (Wonderland, Le Chat chapeauté, Fashion Maman), la sulfureuse "héritière-actrice-mannequin" qui défraie toutes les chroniques obtient avec le film d'horreur son premier rôle d'importance sur grand écran en incarnant l'une des jeunes personnes confrontées à la mystérieuse maison de cire.Quand le feu brûle la cire...
Deux incendies perturbèrent le bon déroulement du tournage de La Maison de cire. Le premier fut provoqué lors d'un test d'effets spéciaux, le second par une bougie mal éteinte.
Voici les critiques presse :
Chronic'art.com
- Vincent Malausa
(...) une petite bombe qui vaut moins pour son originalité que pour la malice avec laquelle y sont recyclées mille et une recettes d'un cinéma d'horreur (...). Premier bon point, une manière de casser la mécanique du slasher en jouant sur l'attente (première partie ... fort réussie). (...) Drôle d'équilibre entre raffinement et grand-guignol (...). Le film joue en outre sur la relative nullité de ses interprètes avec une ironie plutôt jouissive [...]. D'où l'extrême cohérence esthétique du film (...). Une dernière partie extraordinaire (...).
Score
- Bob Alcazar
(...) une excitation qu'on n'avait pas connu depuis longtemps dans le cinéma d'horreur -comme un enivrant parfum de nouveauté. Classique instantané ou futur raout culte, en tout cas le plus grand slasher de tous les temps, ce qui en soi ne veut rien dire (le genre est pas essence moribond) mais donne quand même la mesure jouissive et stylistique de l'ensemble.
L'Express
- Julien Welter
Sadisme et méchanceté. (...) Jaume Collet-Serra met en scène un jouissif jeu de torture prenant le contre-pied du style actuellement trop lisse de ce cinéma de genre. Ne cherchant jamais la peur facile, il tend vers une violence répulsive, type Massacre à la tronçonneuse, et parvient assez souvent à son but. (...) le jeune Espagnol, dont c'est le premier film, avance en assumant avec plaisir ce qu'il tourne: un divertissant massacre au musée Grévin.
Brazil
- Alex Masson
La maison de cire renoue avec la règle d'or du genre : remplir un cahier des charges, oui, mais en s'amusant. Le film de Collet-Serra est un vrai train fantôme, une pure attraction de foire, où l'on sait bien que tout ça c'est pour de faux, mais on veut bien y croire le temps d'une chouette séance de frissons. (...) s'assumant comme un grand n'importe quoi, mais jouissivement sadique.
Le Figaro
- La rédaction
Un suspense horrifique (...). Un premier film à l'intrigue ingénieuse mais au démarrage trop lent.