Le film que vous avez vu aujourd'hui!

Vu hier soir "le Discours d'un Roi" avec Colin Firth, Helena Bonham Carter et Geoffrey Rush.
C'est l'histoire vraie mais méconnu du roi George VI qui gouverna le Royaume Uni pendant la seconde guerre mondiale. Il est devenu roi après que son frère est renoncé au trône par amour pour une femme divorcée, cependant il devra faire appel à un expert en langage aux méthodes un peu particulière pour soigner son défaut d'élocution alors que la guerre se profile à l'horizon.
C'est une histoire touchante qui arrive sans grand artifice à nous faire entrer dans l'intimité de la famille royale ainsi que dans la relation atypique entre le roi et le thérapeute.

vu il y a quelques jours, black swan

glauque et pourtant esthétique, le film surprend. la base narrative est des plus classiques, mais les personnages secondaires et la relation qu'ils tissent tous avec portman sont extrêmement bien écrit, et décidément bien troublants. de même, aranowsky sait gérer la tension du film, laisse quelques clefs du récit au spectateur sans jamais expliciter leur usage, et nous fait toujours nous demander où s'arrête réellement l'action et les personnages.

surprenant et dérangeant, un très bon film.

Une grosse maîtrise scénaristique et dans la réalisation. Une démonstration.

Vu hier, L'Agence, une adaptation d'une nouvelle de Philip K. Dick et rien qu'en ayant dit ça, je sais que j'ai capté l'attention de 2 ou 3 personnes sur le forum.
Pour l'histoire, un homme découvre que sa vie est "orientée" par une mystérieuse agence qui l'empêche de fréquenter une femme et il tente de découvrir pourquoi.
Ce n'est guère original et certaines scènes semblent carrément reprise d'autres films mais l'ensemble tient la route.

j'irai peut être le voir, tiens.

j'ai vu le discours d'un roi vendredi. le londres des années 30 et les relations royales sont extrêmement bien peintes, et le "duel" rush/firth est tout bonnement fascinant. un must

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Un homme se réveille dans un train et ne reconnait personne autour de lui quand tout à coup le train explose et qu'il ne se réveille dans une capsule où il apprend qu'il fait parti d'un projet militaire qui lui permet de revivre les 8 dernières minutes de la vie d'une autre personne...
C'est un film sympa mais qui manque un peu de folie.
Avec le sujet qu'ils avaient, ils auraient pu faire quelque chose de vraiment intéressant et culte.

La Conquête :
On suit le couple Cécilia et Nicolas Sarkozy lorsque ce dernier s'est présenté aux élections présidentiels, dans leurs bons et mauvais jours.
J'ai suivi ma femme qui voulait le voir et je me suis franchement fait chier, j'ai eu l'impression de voir des petites scénettes sans lien, avec des acteurs plus ou moins ressemblant qui reprennent les mimiques et les phrases cultes de leur rôle.

Bon maintenant après la Conquête, ils vont nous sortir la Quéquette sur la déchéance de DSK

Mythic a écrit:

J'ai suivi ma femme qui voulait le voir et je me suis franchement fait chier, j'ai eu l'impression de voir des petites scénettes sans lien, avec des acteurs plus ou moins ressemblant qui reprennent les mimiques et les phrases cultes de leur rôle.

Bon ben j'irai surtout le voir alors pour Villepin et Chriac que j'ai trouvé très convaincants dans la bande-annonce (et dont j'adore les répliques).

Mythic a écrit:

Bon maintenant après la Conquête, ils vont nous sortir la Quéquette sur la déchéance de DSK

Chirac est vraiment bon, Villepin est potable, Sarko tient la route. Franchement tu fermes les yeux, tu as l'impression que tu entends les vrais.
Au faite, fais des recherches sur Dominique Besnehard parce qu'il y a une scène qui est ultra drôle quand on connait les coulisses.

J'ai vu Beginners avec Ewan McGregor, Mélanie Laurent, Christopher Plummer. Un film sur un illustrateur tentant de dépasser la mort de son père, de gérer un début d'histoire d'amour compliqué et d'accepter à posteriori l'homosexualité de son père, avoué quand il avait 75 ans, quand sa femme est morte.
C'est un film étrange, dont les 45 premières minutes passent très vite et très bien, mais dont la dernière heure est beaucoup plus lente. J'ai eu deux fois l'impression de voir une bonne fin, avec à chaque fois une relance un peu inutile, pour finalement arriver à une vraie fin prévisible, et finalement beaucoup moins forte que ce qu'aurait pu donner les deux autres.
Un peu décevant, surtout qu'il y a un vrai faux rythme et quelques moments mal gérés. Heureusement, les trois acteurs principaux sont vraiment excellents, avec de beaux dialogues. Mention spéciale à Christopher Plummer, exceptionnel.
Un film bizarre, entre deux.

Sinon, je viens de voir La plus belle victoire avec Paul Bettany, Kirsten Dunst et Sam Neill (notamment, on trouve aussi Théoden et Charles Xavier jeune). Un film sur un champion de tennis vieillissant, jamais vraiment exceptionnel, prêt à raccrocher après un dernier match et une élimination rapide à Wimbledon (il est britannique, c'est un peu important donc). Viendront une rencontre avec une John McEnroe féminine par Kirsten Dunst (et ça passe pas mal quand elle gueule) et des coups meilleurs, avec une montée étonnante dans le tournoi.
Je suis très étonné, car je n'ai jamais entendu parler de ce film (alors que le tennis est mon sport préféré), et j'ai adoré ! Les coups sont bien rendus, les matchs bien fichus, la tension très présente, les détails respectés (notamment les pensées avant les coups et tout ce qui peut parasiter avant de jouer) et même l'histoire d'amour n'est pas trop gnangnan.
Un vrai coup de coeur, mais ça vient surtout de mon plaisir de découvrir un bon film qui retranscrit plutôt bien mon sport préféré au cinéma.

Limitless, un film cool, plutôt bien fichu, qui ne va pas aussi loin que le concept aurait pu le permettre mais qui reste très carré et bien mené. Bradley Cooper prouve qu'il peut porter un film sur ses épaules, Robert De Niro est concerné et joue le jeu, les effets spéciaux ne sont pas impressionnants mais servent le récit... un bon petit film sympathique.

J'ai voulu donner une deuxième chance à Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, après une première expérience difficile au cinéma, en VF et en VOST.
Mon avis est toujours le même : une énorme déception. Harrison Ford a très mal vieilli, la réalisation fait déjà datée, l'histoire est bancale et rapide. Les seuls points positifs sont l'intégration lente de Mutt (mais quel nom de merde) et la relation Marion/Indiana, ainsi que quelques références bien senties.

En dehors de ça, c'est très faible, très con par moments et bien pauvre par rapport à la trilogie originelle. Un beau gâchis pour un retour tant attendu.

j'ai vu plusieurs films ces derniers temps

dans ses yeux (el secreto de sus ojos). un assistant du procureur qui veut écrire un livre se replonge dans une enquête qui n'a jamais pu être élucidé. c'est du très bon, un film bouleversant, avec ricardo darin toujours excellent.

comment tuer son boss. une idée de départ sympa, kevin spacey en boss sadique et jennifer aniston en nymphomane. bref, ç'aurait pu être bon, mais ça reste plat. on a l'impression que les acteurs s'excusent d'être là et s'emmerdent... bah moi aussi.

buried. ryan reynolds piégé dans un cercueil pendant une heure et demi. ç'aurait pu être chiant, lourd. eh bah non. avec seulement un espace, la lumière d'un briquet et d'une lampe de poche et un téléphone, buried offre un moment de genre tout bonnement excellent.

devil. scénarisé par shyamalan... bon, lec mec qu'a fait sixième sens s'était essouflé ces dernières années, et il n'a écrit que le scénario. sans que ce soit transcendant, devil offre de bons petits moments de frayeurs.

J'ai vu The Artist avec Jean Dujardin et malgré le fait que je trouve très bonne et surtout culotté l'idée de faire un film muet en noir et blanc, qu'est ce que je me suis ennuyé devant... c'est con à dire mais les paroles jouent beaucoup dans le rythme d'un film.

Mythic a écrit:

J'ai vu The Artist avec Jean Dujardin et malgré le fait que je trouve très bonne et surtout culotté l'idée de faire un film muet en noir et blanc, qu'est ce que je me suis ennuyé devant... c'est con à dire mais les paroles jouent beaucoup dans le rythme d'un film.

Ah ben moi au contraire j'ai adoré The Artist ! Dujardin est vraiment super expressif et porte le film quasiment à lui tout seul, il nous montre qu'un acteur ce n'est pas juste quelqu'un qui parle mais avant tout quelqu'un qui joue avec tout son corps, qui impose sa présence. Pari réussi pour Michel Hazanavicius pour moi, lui qui pourtant nous a habitué aux dialogues fous et aux jeux de mots bien senti (les OSS 117 avec déjà Dujardin ou le célèbre Grand Détournement) m'a diverti sans en faire.

Quelques autres films en vrac vus récemment :

Donnie Brasco : Un film inspiré d'une histoire vraie contant le parcours d'un agent du FBI (Johnny Depp) infiltrant la mafia new-yorkaise, avec Al Pacino dans le rôle de son mentor, un porte-flingue fatigué déçu par le peu d'estime que lui porte ses pairs, et Michael Madsen dans celui du caïd qui monte. Pas le film ultime du genre mais un bon film tout de même porté par un casting qui a bien de la gueule.

Smoke : Un film présentant des tranches de vie de plusieurs habitant de Brooklyn qui s'entrecroisent. Un beau casting également (Harvey Keitel, William Hurt ou encore Forest Whitaker) pour un métrage aux personnages vrais et attachants, j'ai vraiment passé un excellent moment.

Quarante Ans Toujours Puceau : J'ai enfin pu voir cette fameuse comédie qui avait fait tellement de bruit à l'époque de sa sortie, et même si je ne me suis pas ennuyé ça ne m'a pas transcendé, ça le laisse regarder et fait rire par moment mais il n'y a vraiment pas de quoi s'en relever la nuit.

Arathorn X a écrit:

Mythic a écrit:

J'ai vu The Artist avec Jean Dujardin et malgré le fait que je trouve très bonne et surtout culotté l'idée de faire un film muet en noir et blanc, qu'est ce que je me suis ennuyé devant... c'est con à dire mais les paroles jouent beaucoup dans le rythme d'un film.

Ah ben moi au contraire j'ai adoré The Artist ! Dujardin est vraiment super expressif et porte le film quasiment à lui tout seul, il nous montre qu'un acteur ce n'est pas juste quelqu'un qui parle mais avant tout quelqu'un qui joue avec tout son corps, qui impose sa présence. Pari réussi pour Michel Hazanavicius pour moi, lui qui pourtant nous a habitué aux dialogues fous et aux jeux de mots bien senti (les OSS 117 avec déjà Dujardin ou le célèbre Grand Détournement) m'a diverti sans en faire.

Je suis d'accord, le jeu de Dujardin est très réussi et qu'il mérite son prix d'interprétation à Cannes mais j'ai trouvé certaines scènes un peu longues et si il y avait eu un peu plus de panneaux de dialogues, ça m'aurait moins dérangé.

J'ai pu voir ces derniers temps quelques films, certains étant des réussites et d'autres... des bons moments.

-Bienvenue à Bord avec Franck Dubosc et Valerie Lemercier. Une bonne grosse comédie franchouillarde mais assez drôle avec Dubosc qui nous joue son rôle de benêt habituel qui se retrouve embauché comme animateur au sein d'un bateau de croisière par la DRH de l'entreprise qui vient de se faire larguer par ex PDG d'amant. Il n'a bien sur aucune connaissance et ne comprend rien à rien mais c'est très divertissant à voir.

-Real Steel avec Hugh Jackman dans le rôle d'un loser ancien boxer qui vivote de combat de boxe entre robot. Après une série de loose, il doit s'associer avec son fils pour entrainer un robot de récupération. C'est un thème ultra rabattu dans les films mais le coté futuriste qui d'ailleurs n'est présent que par les bastons de robots est une valeur ajouté assez sympa et puis on s'attache assez rapidement au trio que forme le père, le gamin et leur robot.

-Intouchables ou comment faire un film drôle et poignant avec un sujet assez difficile. Tiré d'une histoire vraie, Omar SY (d'Omar et Fred) joue le rôle d'un jeune de banlieue qui se retrouve à être un aide de vie à un bourgeois tétraplégique joué par François Cluzet. la tchache d'Omar joue beaucoup pour la réussite du film et Cluzet est troublant avec son jeu d'acteur ne reposant que sur les expressions de son visage.

Sans mon rendre compte, je les ai classé du moins réussi au plus réussi.

Une Nuit à New York (Nick and Norah's Infinite Playlist) : Très sympathique film mettant en scène la charmante Kat Dennings et Michael Cera (qui nous fait du Michael Cera, j'ai beaucoup de sympathie pour lui mais on ne peut pas dire que son jeu soit très diversifié) dans le rôle de deux adolescents qui vont découvrir le temps d'une nuit mouvementée dans les rues de New York qu'ils ont peut-être plus en commun que leurs goûts musicaux. Ça a l'air un cucul-la-praline dit comme ça mais j'ai beaucoup aimé, on a là un petit film sans prétention avec de bons dialogues, des situations drôles, un couple qui fonctionne et une bonne bande-son, j'ai vraiment passé un excellent moment. Notez que le titre français est quand même bien nase, si une traduc' littérale n'aurait sans doute pas trop bien sonné quelque chose comme "La Ballade de Nick et Norah" aurait très bien pu faire l'affaire.

Delicatessen : Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro nous livre là un univers décalé, intemporel et poétique servi par quelques "gueules" du cinéma français. J'avoue avoir eu un peu de mal à entrer dans l'histoire (en grande partie à cause de mes conditions de visionnage qui n'étaient pas optimale) et me demandait un peu par moment ce que je regardais, le film n'est assurément pas destiné à un public large, mais la vraie force du film repose sur le travail sur le décor et la lumière qui servent parfaitement l'ambiance "poisseuse" qui se dégage tout le long du métrage, et là c'est une vraie réussite.

Hideaways : Une jeune fille dont la maladie ne lui donne plus que quelques semaines à vivre s'enfuie de l’hôpital et rencontre dans les bois un garçon vivant à l'écart du monde, conséquence d'un terrible don de la nature : celui de faire mourir toute chose autour de lui lorsqu'il ressent de la douleur. Un film proche de l'univers de Tim Burton, au scénario assez simple mais très touchant, servi par de jeunes acteurs plutôt convaincants.

J'ai vu Intouchables, un petit film plein d'humour et d'émotions avec de / 2 très bons acteurs.

Certains d'entre vous en ont peut être entendues parler.

C'est l'histoire d'un riche en fauteuil et d'un banlieusard (en baskets) qui sympathisent.
Le premier veut qu'on ait pas pitié de lui et qu'on ne le ménage pas... Le second veut... Une signature pour continuer à percevoir les assédics.

ça ira (beaucoup) plus loin .

2 mondes qui se rencontrent, 2 univers qui se croisent... Mais qui ne s'entrechoquent pas.
De grands moments de fous rires garantis, quelque soient votre humour.

Toutes les générations, tous les milieux (de la haute bourgeoisie aux pauvres en passant par la classe moyenne) seront morts de rire.

rarement un film n'a autant fédérer.

Quelque soient vos soucis, vos problèmes, ils resteront à la porte pendant 1h47...

phantom stranger a écrit:

J'ai vu Intouchables, un petit film plein d'humour et d'émotions avec de / 2 très bons acteurs.

Certains d'entre vous en ont peut être entendues parler.

C'est l'histoire d'un riche en fauteuil et d'un banlieusard (en baskets) qui sympathisent.
Le premier veut qu'on ait pas pitié de lui et qu'on ne le ménage pas... Le second veut... Une signature pour continuer à percevoir les assédics.

ça ira (beaucoup) plus loin .

2 mondes qui se rencontrent, 2 univers qui se croisent... Mais qui ne s'entrechoquent pas.
De grands moments de fous rires garantis, quelque soient votre humour.

Toutes les générations, tous les milieux (de la haute bourgeoisie aux pauvres en passant par la classe moyenne) seront morts de rire.

rarement un film n'a autant fédérer.

Quelque soient vos soucis, vos problèmes, ils resteront à la porte pendant 1h47...

Un excellent film ou deux univers se croisent, celui du tétraplégique riche qui cherche quelque chose qu'il va finir par trouver et celui de ce repris de justice qui cherche un emploi et qui va trouver tellement de choses à donner...
Le film de l'année sans doute...

Still Crazy : 30 ans après leur séparation à la suite d'un festival qui a mal tourné, le groupe rock Strange Fruit tente tant bien que mal de se reformer. Film assez sympathique, même si je l'ai trouvé un tantinet trop court, certains personnages auraient gagné à être un peu plus développer. Les chansons conçues spécialement pour le film sont pas trop mal, la soundtrack du film devenant un album à part entière. Evidemment ce genre de film n'échappe pas à la comparaison avec le fameux documentaire sur le faux groupe de hard rock Spinal Tape et c'est clairement moins dingue, mais le sujet des deux films n'est pas vraiment le même donc c'est normal.

Accross the Universe : Le jeune Jude quitte son Angleterre natale pour l'Amérique où il finira par emménager avec un groupe de musicien à Greenwich Village. Au milieu des tumultes dans les rues provoquées par la guerre du Vietnam et le mouvement émergeant il vivra une histoire d'amour mouvementée avec la belle Lucy. Ce film est assez spécial puisqu'il s'inspire de l'oeuvre des Beatles dont 34 chansons sont reprises par les acteurs durant le film. Cela nous donne une bonne histoire qui témoigne des changements sociaux qui ont secoués les Etats-Unis à l'époque tout en retranscrivant l'ambiance qui régnait dans le Greenwich Village de l'époque.

Mythic a écrit:

Vu hier soir "le Discours d'un Roi" avec Colin Firth, Helena Bonham Carter et Geoffrey Rush.
C'est l'histoire vraie mais méconnu du roi George VI qui gouverna le Royaume Uni pendant la seconde guerre mondiale. Il est devenu roi après que son frère est renoncé au trône par amour pour une femme divorcée, cependant il devra faire appel à un expert en langage aux méthodes un peu particulière pour soigner son défaut d'élocution alors que la guerre se profile à l'horizon.
C'est une histoire touchante qui arrive sans grand artifice à nous faire entrer dans l'intimité de la famille royale ainsi que dans la relation atypique entre le roi et le thérapeute.

Je l'ai énormément apprécié également, il y a un je-ne-sais-quoi qui m'a fait accrocher dès les premières minutes. Les deux acteurs sont au top, ils forment vraiment un superbe duo à l'écran. Evidemment quelques libertés ont été prises par l'Histoire, de façon similaire à la série Rome le récit se permet quelques raccourcis dans le temps et la transformation de détails afin de donner un certain rythme et équilibre au film, une opération qui a toutefois été faite sans changements choquants avec les faits réels.
Un film que je conseille à tous, et si possible en VO puisque le ton et la diction des deux acteurs principaux est le principal leitmotiv du film.

Docteur Folamour ou : comment j'ai appris à ne plus m'en faire et à aimer la bombe : Ma lourde entreprise de rattraper mes lacunes cinématographiques (vu le nombre de films qu'il faudrait que je vois encore et la vitesse à laquelle j'y vais c'est pas gagné, niveau ciné récent j'ai même pas encore terminé 2009...) m'a amenée à enfin voir ce célèbre film de Stanley Kubrick. Un film déroutant et exceptionnel, où un sujet aussi sérieux que la menace de guerre nucléaire entre l'Amérique et l'URSS est traité sur un ton unique, la situation très grave étant parsemé de scènes et de dialogues surréalistes. en témoigne évidemment le fameux Docteur Folamour, qui n'apparaît pas énormément que ça en fait, campé par Peter Sellers a qui le réalisateur a également octroyé le rôle du colonel Lionel Mandrake, un officier anglais qui tentera tant bien que mal de ramener à la raison le général paranoïaque responsable de la menace atomique, et du président Merkin Muffley, dont on se souviendra des conversations téléphoniques avec son homologue russe dans un état second qui n'apparaît jamais directement mais dont on devine les paroles aux réactions du président américain. Un film culte mais qui en déroutera sans doute plus d'un, moi-même je l'ai été par la fin un peu abrupte de l'histoire.

La pub sur les bus pour "Hunger games" ayant éveillé mon intérêt.
Au début j'ai pensé que c'était Ender's game de Card. Et c'est en cherchant sur le net que je me suis rendu compte que c'était un roman jeunesse. J'ai donc était le prendre en section jeunesse et l'ai lu dans la nuit de mercredi à jeudi.

Le pitch :
Dans un futur post apocalyptique treize état se sont soulever et ont perdu. L'un deux fut exterminer purement et simplement. Les autres vivotent et survivent sous le joug de la citadelle.
Et chaque année chaque secteurs est obligé d'envoyer un garçon et une fille entre 11 et 18 ans. Le gagnants permet à sont secteur des provisions sur un ans. Et pour devenir gagnant il faut survivre et tuer les autres avant d'être tuer.
Ce qui fait que certain secteur entraine leurs jeunes qui se portent volontaire. Mais pour certain secteur c'est le hasard qui décide.
Et lorsque le sort désigne la petite soeur de Katniss elle n'a d'autre choix que de se porter volontaire pour prendre sa place.

Critique :
Si le livre montre bien la faim qui tenaille l'héroïne au début, et l'horreur de la situation. Le film va plus rapidement mais reste assez fidèle. Il enlève la scène de l'amie de Katniss qui lui donne la broche après avoir été choisie. Ainsi que celle avec le père de son concurrent venant la voir pour promettre de garder un oeil sur sa soeur. Ou encore l'histoire de la muette. Mais il ajoute le personnage du réalisateur ce qui n'est pas mauvais en soi pour le final.
Quelque scène sont changer de si de là. Mais rien de bien désagréable. Même si j'aurais préférer le pain donner par le 11éme secteur plutôt que leur soulévement.
Ou que sans la discution avec Tresh on se demande comment il sait pour Rue.
Par contre si j'aime beaucoup l'actrice et son jeux on ne peut croire une seconde à sa pauvreté et qu'elle soit en sous nutrition. Et c'est bien le problème.
Car elle devrait sortir encore plus maigre du jeu mais rien du tout.
Les scène s'enchaine rapidement mais on n'arrive pas a s'attacher au mort des Carrière qui sont détestable dans le livre. Seul la mort de Rue reste aussi forte en émotion.
Cinna est jouer par Lenny Kravitz. Ce qui le fait
Haymish est très bien interpréter par Woody Harrelson.
Elisabeth Banks et méconnaissable et assez haïssable en elffie Trinket.

La fin n'est pas la même que dans le livre. Ce qui fait qu'ici on peut s'arrêter là.

Agora : Qualifié de premier "péplum philosophique", Agora reprend le personnage historique d'Hypatie d'Alexandrie, une savante et philosophe qui a vu cette ville passer au main des chrétiens. Entre faits réels et fiction le film se veut être une critique des extrémisme religieux, en explorant notamment les rapports entre science et religion et un petit peu aussi la condition féminine. Je le conseille à tous, Rachel Weisz est très convaincante dans son rôle et l'histoire se révèle tous sauf manichéenne aussi bien au niveau des différents camps que des personnages en eux-mêmes.

Battleship : Vais-je vraiment vous parler de ce... ce machin innommable tellement con que mon cerveau s'est suicidé avant la moitié du film ? Battleship est un peu l'enfant d'Independance Day et Transformers, le fun en moins. Par contre si vous avez envie de vous moquer d'un film, il est totalement fait pour vous ! Tout merde dans ce film : l'intrigue est quasi-inexistante et totalement foirée dans les quelques moments où elle tente d'exister, les personnages sont tous plus nuls et inutiles les uns que les autres, les acteurs très mauvais, les dialogues sont catastrophiques... Mention spécial a Taylor Kitsch, dont le jeu d'acteur se résume à prendre des poses et déclamer des lignes de dialogues plus-cliché-tu-meurs. Seconde mention spécial à la scène de recrutement de l'équipage du Missouri, tellement énorme et cliché qu'on se l'a regardé à nouveau, un bon moment de rigolade. Toutefois si vous cherchez un film d'action décérébré devant lequel vous détendre, ce film... ben non, il est pas bon pour ça non plus, vous que vous ennuierez ou énerverez plus qu'autre chose ! Pauvre Taylor Kitsch, c'est décidément pas son année...

La Cabane dans les Bois : Les critiques ont été élogieuses pour ce film et je les rejoins : c'est génial ! De très bons dialogues et des situations folles pour un film hommage aux classiques de l'horreur, que demander de plus ?